Saint-Chinian, Jardin du Cloître – 15 € / 10 €
Les quatre musiciens de « Sheik of swing » vous dévoilent un répertoire riche en mélodies alliant swing manouche et envolées tsiganes, dans une réinterprétation aussi poétique que véloce.
Swing des années folles, valses et rythmes des pays de l’est, les musiciens de Sheik of Swing vous proposent un voyage musical effervescent ! Clément, Sylvain, Vincent et Benjamin distillent une musique authentique, énergique et généreuse. Une musique qui parle au cœur et aux oreilles. Avec la jeune et talentueuse chanteuse Agathe Da Rama en exclusivité pour notre concert, nul doute que ce groupe saura clôturer le Festival Jazz au Cloître avec brio.
« Des improvisations chatoyantes à couper le souffle provoquent des moments de grâce «
« Entre tendresse, énergie, fantaisie ils ont forcés l’admiration du public et envouté la salle » (La Dépêche)

Les artistes

Clément Salles est un clarinettiste de formation classique.
Il débute la clarinette au CNR de Toulouse à l’âge de 7 ans. Il découvre la pratique du Jazz Manouche en Angleterre au cours d’une formation de luthier, et en profite pour participer à la formation du groupe « Swing 1664″ qui électrise pubs et festivals des Midlands pendant 4 années. Il retourne à Toulouse et passe sa Licence en Musicologie Jazz, intègre « Les Vents Malins » et « Kassla Datcha », et débute l’apprentissage du saxophone. Plus récemment il participe à la création du quintet balkan/jazz « Nuit Nomade », rejoint les groupes « Tchiki Swing » et « En’vatchei » et collabore avec diverses formations musicales toulousaines (Pulse, Les Tires-Bouchons, Sandrine Cabadi, J’ai rdv avec vous, Nomad Frequencies…) et internationales.

Sylvain Peyrières commence la guitare avec Laurent Vivet au CNR de Toulouse.Il y obtient un diplôme d’étude musicale en guitare classique et en musique de chambre. C’est à la suite d’un concert du groupe Latcho Drom qu’il se passionne pour la musique de Django. Il forme le groupe » Camping sauvage » et joue sur de nombreuses scènes de France et de Navarre. En parallèle, il enseigne la guitare pendant plus de 15 ans a L’EEA de Tournefeuille, commence une collaboration avec la troupe de théâtre du « Grenier de Toulouse » et se produit sur des scènes prestigieuses tel que « L’Escale » ou « Le Théâtre du Capitole ». En 2012, il anime une jam session manouche au café « La Maison Blanche », et rencontre de nombreux musiciens de la scène Toulousaine, dont les musiciens de Sheik Of Swing qu’il rejoint en 2016.

Vincent Hemery est un contrebassiste de formation jazz.
Originaire du Limousin il commence sa carrière professionnelle en 2003 avec le groupe « Latcho Divès » avec lequel il écumera les scènes et festivals pendant plus de dix ans. Arrivé en 2012 à Toulouse il intègre plusieurs groupes : « Sheik of Swing », « Big Ben trio », « Manel Cheniti quintet »… Très actif dans le milieu musical toulousain, il multiplie également les collaborations avec de nombreux groupes de jazz/swing en tant que sideman.

Benjamin Bobenrieth, guitariste, se passionne d’abord dans son adolescence pour la basse électrique et les Musiques Actuelles telles que le Rock et le Funk.
C’est à l’âge de 15 ans qu’il tombe sous le charme de la musique de Django Reinhardt et débute son apprentissage de la guitare manouche. Il fonde plusieurs projets comme le groupe Oihana Quartet. Le groupe se produira sur de nombreuses scènes prestigieuses (Paris Jazz Festival, Festival Jazz de Tournai en Belgique, Festival Niglo à Toulouse, Festival Novela Toulouse, Baisé Salé…) et sera salué par la critique (Jazz Magazine, Django Station…). En 2007, il intègre la classe de Musicologie Jazz à l’Université Toulouse Jean Jaurès. Il obtient une Licence Musicologie Jazz et poursuit avec l’obtention d’un Master en Musicologie Mention Très Bien. Ses travaux universitaires seront publiés dans les Cahiers du Jazz (aux Éditions Outre Mesure) et aux Presses Universitaires du Mirail. En 2015, il fonde son propre trio de Jazz Manouche, le Big Ben Trio. Le groupe connaît rapidement un grand succès dans tout le grand Sud et se produit sur de nombreuses scènes (Festival Éclats d’Émail Jazz de Limoges, Jazz au Mercure à Toulouse, Jazz à Oloron, Jazz en Mars à Tarnos, Jazz à Saint Sat’, Festival Clari’Jazz, Festival Musique en Chemin, Jazz en Comminges…). En 2018 il signe chez le Label Laborie Jazz pour l’enregistrement de son premier album sous le nom de Benjamin Bobenrieth Trio « TRAVELS » ! Il rejoint également en 2018 le groupe Sheik of Swing et collabore avec de nombreux artistes toulousains et nationaux !




Agathe Da Rama
Il était écrit qu’un jour son destin la mènerait à chanter et à vivre à La Nouvelle Orléans tant cette ville lui ressemble musicalement.
Elle en revient.
Chanteuse et musicienne confirmée, Agathe Da Rama a fait sensation lors des auditions à l’aveugle de la saison 8 de The Voice, qui a été diffusée samedi 9 février 2019 sur TF1.
En choisissant d’interpréter une chanson d’Etta James, « I’d Rather Go Blind », elle a fait l’unanimité auprès des coachs de l’émission, qui ont tous été séduits par sa splendide voix grave. Signe qui ne trompe pas, Julien Clerc, Soprano, Mika et Jenifer se sont d’ailleurs tous retournés, Agathe Da Rama est pourtant loin d’être une néophyte… Chanteuse professionnelle, accro au live et à la scène, elle a déjà donné des dizaines de concerts et notamment lors de la Fête de la musique, place du Capitole, le 21 juin 2018.
Remarquée par la production de l’émission lors d’une prestation sur scène avec son groupe éponyme « Agathe Da Rama », rien ne prédestinait cette jeune femme à se retrouver sur le plus célèbre télé-crochet musical.
« J’ai grandi dans la culture afro-américaine et auprès des paroliers français. De 6 à 12 ans, j’ai commencé la harpe celtique au conservatoire entre Paris et Aubagne. Mes inspirations, ce sont le rock et le blues du début du 20e siècle jusqu’au années 60 et la vague hip-hop/funk du début des années 90 », détaille Agathe.
« Embarquer les téléspectateurs dans mon univers »
« Les producteurs de The Voice m’ont contactés après avoir vu le groupe sur scène des Inouïs du Printemps de Bourges, poursuit Agathe Da Rama. J’ai failli ne pas le faire. J’ai déjà un groupe en développement, je voulais protéger les musiciens de mon groupe. On s’est posés énormément de questions entre nous. J’avais même peur que ça puisse me fermer des portes… ».
Au final, la jeune femme s’est laissée convaincre. « J’ai cherché à vivre cette aventure, à jouer le jeu, sans avoir forcément conscience de l’impact que ça pourrait avoir. Je le fais dans l’idée d’embarquer le téléspectateur dans mon univers et de toucher les gens en espérant que certains d’entre-eux viennent me voir en concert plus tard. Je ne fais pas de la musique pour passer sur les plateaux TV mais pour les concerts », assure la Toulousaine.
Elle a été finaliste du tremplin de » Blues sur Seine »
« Agathe a goûté à la harpe celtique, la batterie et bien d’autres choses avant de se concentrer sur le chant. En langue anglaise pour l’instant. Elle y développe une personnalité forte, « comme une boule de tension dans une enveloppe de velours », un peu féline et résolument nana de scène. ». – La Dépêche du Tarn
« Du coup Agathe rayonne et enchante le public, que ce soit à travers ce Baby please don’t go négocié en deux temps (lascif, à nouveau, avant une bascule vers un dancefloor de juke-joint) ou des compos avançant en douceur pour inviter la soul » (soul bag)